Toute la complexité, c’est que plus on diabolise un objet comme la télé, plus on en fait un objet de transgression et donc de convoitise.

Donc, c’est vrai qu’on a envie de se dire que, dans l’idéal, il vaut mieux que la télé soit un allié.

Par contre, oui, c’est un nouvel enjeu d’autorité, pas nouvel d’ailleurs, ça fait bien longtemps.

Les parents savent et donc, il ne s’agit pas d’interdire totalement, mais plutôt, on va dire,

de réguler et voire même, comme l’a dit notre ami sociologue, de pouvoir en parler, parler autour des programmes, etc.

The complexity is that the more we demonize an object like TV, the more we make it an object of transgression and therefore of covetousness.

So, it’s true that we want to say to ourselves that, ideally, it’s better that TV is an ally.

On the other hand, yes, it is a new issue of authority, not a new one by the way, it has been a long time.

Parents know and therefore, it is not a question of totally prohibiting, but rather, we will say,

of regulating and even, as our sociologist friend said, of being able to talk about it, to talk about the programs, etc.